Ah le bonheur de rentrer à Paris.... Samedi, en arrivant dans l'appart, j'ai regardé autour de moi. J'adore mon appart. Depuis Janvier, je passe par toutes les phases de la joie dès que je regarde autour de moi (grand, clair, blabla, mais j'ai déjà fait le laius sur mon appart, on va finir par croire que je suis appartophile)...  Mais là, j'avais perdu mes marques. En une semaine. Pas n'importe laquelle je l'accorde : une semaine vers Montpellier, à la plage, dans un grand studio sympatoche (NDLR pour Francis : d'où le besoin de torchon) à deux pas de la mer, soleil, chaleur, mer à 26°C, balade multiples dans la région, conduite assurée (même moi j'étais étonnée) de la Modus avec clim' louée pour l'occas.... Un vrai break. RESPIRATION. Et là, en rentrant, je ne sais pas. Déphasée. Je ne reconnaissais rien. Je me sentais mal.

Et puis dès la journée d'hier, je me suis remise dans le bain. Réveillée à 10h par un coincoin de canard en peluche par mr L. très joueur (je suis sûre qu'en fait, il ne supporte pas que je grasse-matine, alors que lui est jeté hors du lit dès 8h30... DIMANCHE !!!!). Bon pour se faire pardonner, il était allé chercher du pain frais et à un petit desseert acheté pour 16h. #miam#

Ensuite, direction, en retard (as usual) pour l'hyppodrome de Longchamp. Comme l'an dernier, aavec des amis, on a décidé d'être bénévoles sur Solidays. Franchement, non seulement c'est une bonne action (et ca fait pas de mal d'en faire une de temps en temps) et en plus c'est une expérience formidable de faire un festival dans les coulisses. L'ambiance electrique, trois jours fous, ereintant mais  un vrai catalogue de souvenirs. Bref, comme le dit l'accroche de cette année :  top1

Cette nuit, quand l'orage a craqué, je me suis dit "Ca y'est c'est sûr on est rentrés". Ce matin enfin, en arrivant au boulot, j'ai compris qu'on n'échappe pas à son quotidien. Il est là, faut juste s'y adapter. Ou l'adapter à soi. « Ah tu sais pas ce qui s'est passé la semaine dernière quand t'étais pas là ? » Ben non. Suis pas sûre de vouloir le savoir. C'est pour ca que les vacances existent : pour partir un peu. Sortir la tête de l'eau.

Si vous êtes sages, je vous mettrai quelques photos glanées par là-bas.

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