En ce moment, vous l'aurez remarqué, je ne suis guère inspirée. En outre, j'ai été plutôt débordée. En bref, toujours des remous au travail, pas de réelle réponse même si une avancée non négligeable s'est amorcée, sans pour autant me donner une ligne claire et nette en ce qui me concerne.

Mes petits CDD ont fini leur mission vendredi, aidés en cela par du bon jus d'orange, des kinders et des brioches au chocolat (note personnelle : arrêter de materner tout le monde), me laissant dans un état indéfénissable, mêlé de joie de ne plus en voir certaine (sans s, c'est fait exprès) et tristesse de perdre une ambiance très différente de ce que je vis d'habitude, et de ne plus voir régulièrement certaines personnes dont je m'étais rapprochée, tout en essayant de garder une distance toute relative pour conserver mon autorité (ce que j'ai aimé me faire appeler chef pendant 3 mois, dingue !) Une page se tourne, et j'attends donc impatiemment de voir celle qui va s'ouvrir.

Or donc. Tout à l'heure en ressortant mon ordi que je n'utilise qu'en cas de besoin photoshopien depuis l'arrivée dans notre vie du portable pro de Monsieur L, je suis retombée sur tout un tas de vieux textes, du temps où j'étais célibataire, et très prolifique en écriture (l'un n'allant visiblement pas sans l'autre chez moi, c'est ballot vu que je suis mariée :) c'est pourquoi, cette semaine, je botte en touche et vous fait partager quelques uns de cex vieux textes, quand mon coeur de demoiselle tourmentée se posait mille questions sur les hommes, leurs regards, leurs gestes, leurs non-mots et non-regards, non-gestes.

Mon homme, si tu es sensible et jaloux, ne lis pas mon blog cette semaine :)
Retour à l'accueil